ÉCLAT DE RÉUSSITE

65 % des actifs veulent changer de voie : comment passer de l’envie à l’action ?

Il y a des phrases qu’on garde pour soi. Des pensées qu’on ne formule qu’en silence, dans les interstices du quotidien : entre deux réunions, dans une rame de métro, ou en regardant l’écran s’allumer un lundi matin.

Publié à : 2025-06-05

Il y a des phrases qu’on garde pour soi.
Des pensées qu’on ne formule qu’en silence, dans les interstices du quotidien : entre deux réunions, dans une rame de métro, ou en regardant l’écran s’allumer un lundi matin.

Des phrases comme :

=> “Je ne me sens plus à ma place.”
=> “Je ne me vois pas continuer comme ça pendant dix ans.”
=> “J’aimerais faire autre chose… mais je ne sais pas quoi.”

Ces pensées-là sont loin d’être isolées. Elles sont massives, partagées, presque universelles.
D’après une étude menée par l’Ifop en 2023, 65 % des actifs envisagent de changer de voie professionnelle.


C’est une majorité. C’est une réalité. Et pourtant, peu de personnes franchissent le pas.

Pourquoi ?
Parce qu’entre l’envie et l’action, il y a un vide. Un pont à construire. Un brouillard à traverser.

Chez Éclat de Réussite, nous avons accompagné des dizaines de personnes à travers ce passage.
Nous avons entendu leurs doutes. Nous avons vu leurs hésitations.


Et nous savons que le vrai problème n’est pas le rêve, mais le flou qui l’entoure.


Le désir de changement : une lumière qu’on étouffe

Changer de voie n’est pas un caprice. Ce n’est pas une lubie passagère.
C’est souvent un appel profond, longuement tu, qui finit par se faire entendre.
Et pourtant, au moment de l’écouter, quelque chose en nous résiste.

On se dit :
– “Ce n’est pas le bon moment.”
– “Je ne suis pas sûr(e) d’être légitime.”
– “Je devrais être content(e) de ce que j’ai.”

Ce sont ces petites phrases intérieures qui freinent les grands élans.
Elles nous ramènent à la raison, à la prudence, à la peur.
Et elles finissent par nous convaincre que mieux vaut une vie tiède que l’inconnu.

Mais ce qu’on oublie, c’est que cette tiédeur a un prix.
Elle use.
Elle fatigue.
Elle éloigne, chaque jour un peu plus, de la sensation de vivre pleinement.


Ce qu’il manque : un cadre, pas une idée

Beaucoup de personnes pensent qu’il faut une idée claire pour entamer un changement.
Un plan parfait. Un projet défini.

C’est faux.

Ce qu’il faut, c’est un cadre pour réfléchir. Un espace où l’on peut se poser les bonnes questions, sans pression, sans jugement, sans obligation d’avoir déjà les réponses.

C’est précisément ce que propose le bilan de compétences.

Loin d’être un simple outil d’évaluation, il devient, entre de bonnes mains, un espace de clarification intérieure.

Il permet de :


L’ikigaï : un outil de lucidité douce

Parmi les outils que nous utilisons chez Éclat de Réussite, l’ikigaï est un pilier précieux.
Issu de la culture japonaise, il repose sur quatre piliers fondamentaux :

Là où ces quatre dimensions se croisent se dessine une zone rare : un espace d’alignement, où la passion rencontre l’utilité, où le talent devient ressource, où le travail cesse d’être une obligation pour devenir un prolongement de soi.

Travailler son ikigaï dans un bilan, c’est se reconnecter à une boussole intérieure, souvent enfouie sous des années de compromis.


Et maintenant, qu’est-ce qu’on en fait ?

Beaucoup imaginent qu’une reconversion signifie tout quitter. C’est rarement le cas.

La plupart des parcours que nous accompagnons sont faits de virages doux : un repositionnement, une montée en compétences, un projet en parallèle, un changement d’environnement, un recentrage.

Ce sont ces petites évolutions, bien pensées, bien posées, qui transforment une vie professionnelle sans l’exploser.

Julie, 38 ans, est venue nous voir avec une phrase en tête :
“Je veux travailler dans le bien-être.” C’était vague, flou, presque inaccessible.

Trois mois plus tard, après avoir exploré ses compétences, clarifié ses contraintes, défini ses priorités, elle lançait une activité d’accompagnement en gestion du stress, en parallèle de son emploi actuel.

Pas un saut dans le vide. Un pas vers elle-même.


Vous attendez quoi, exactement ?

Ce qu’on observe, c’est que beaucoup attendent un “déclic”.
Mais le déclic n’est pas magique.
Il se construit, au fil d’un chemin.
Et ce chemin commence par une question simple :

“Qu’est-ce que je veux vivre dans ma vie professionnelle ?”

Cette question, elle mérite du temps. Elle mérite un cadre. Elle mérite qu’on s’y attarde.

Chez Éclat de Réussite, c’est notre métier de vous y accompagner.


FAQ – Reconversion et passage à l’action

Est-ce que tout le monde peut changer de voie ?
Oui, mais à condition de respecter son propre rythme, ses contraintes et ses aspirations. Un accompagnement personnalisé permet d’ajuster le projet à la réalité.

Je n’ai pas d’idée précise, est-ce que le bilan peut m’aider ?
C’est justement dans ce cas qu’il est le plus utile. Le bilan vous aide à faire émerger des pistes en partant de qui vous êtes, pas de ce que vous “pourriez faire”.

Est-ce possible de changer sans tout quitter ?
Oui, beaucoup de nos bénéficiaires conservent leur emploi tout en amorçant un virage (formation, création d’activité, mobilité interne, etc.).

Combien de temps faut-il prévoir pour un bilan ?
En moyenne, entre 8 et 12 semaines. Nos formules s’adaptent à votre emploi du temps et à votre rythme de réflexion.

Est-ce finançable ?
Oui, notamment via le CPF, mais aussi via votre employeur, France Travail ou un financement personnel. Nous vous aidons à choisir la solution adaptée.